La période de la Renaissance italienne est paradoxale : apogée d'une civilisation brillante et raffinée qui s'est pourtant développée et maintenue dans un climat de désordres, de massacres et d'exils. Florence, voulant rester libre et se garder de l'ambition des princes, s'est soumise à la volonté du clan des Médicis, simples citoyens mais assez habiles pour survivre aux destructions de la cité.