Inaugurant le Cinéma corporel de Klonaris-Thomadaki, ainsi que leur cosignature, « Double labyrinthe » est conçu selon un dispositif en miroir (Klonaris filme Thomadaki puis les rôles s'inversent), établissant une relation réciproque et non hiérarchique entre filmée et filmante et donnant à l'« actante » (un terme que les artistes substituent à celui d'actrice) un rôle actif dans la figuration de son imaginaire. « Le corps et le mental féminin : pour une différente définition du rapport entre l'inconscient, les sens et la communication ». Contient : "Double labyrinthe" (1975-1976, 50 min), "La torture" (1976-2012, 15 min), "Flash Passion" (1970, 2 min), "3.VII.1973" (1971, 6 min), "Smoking" (1976-2016, 4 min)