"C'est Marie-Antoinette que je voulais Øcouter. L'Øcouter comme si j'avais ØtØ sa confidente. Sa voix rØsonne dans sa correspondance, dans ses silences, dans les mots effacØs et retrouvØs. Les lignes tracØes de sa main sont comme des notes sur une patition de musique. Je perois l'incertitude de son timbre, sa sensualitØ, je perois des sonsgraves et lØgers comme l'eau d'une riviŁre, une riviŁre de larmes."