Pour la première fois, voici réunies les grandes partitions de cinéma de Quincy Jones, remasterisées en version intégrale. Il a fallu mener un long jeu de pistes pour retrouver et restaurer les bandes masters concernées, pour reconstituer le puzzle d'un fragment de vie entièrement voué à l'écriture pour l'image. "J'ai voulu écrire des musiques de films dès l'âge de quatorze ans " affirme Quincy. Ce rêve est devenu réalité dix-huit ans plus tard, en 1965, avec The Pawnbroker de Sidney Lumet". Le cinéma de Quincy Jones, ce sont sept années d'une grande intensité, une parenthèse enchantée (1965-1972) prolongée par The Wiz, film de sa rencontre avec Michael Jackson, et surtout La Couleur pourpre de Steven Spielberg. L'étape cinéma va être décisive dans la reconnaissance de son talent : jusqu'alors auréolé d'une réputation d'arrangeur virtuose, c'est Hollywood qui va installer et confirmer Quincy Jones en tant que compositeur. Pour Quincy Jones, écrire pour le cinéma, c'est aussi faire la synthèse de ses différentes cultures : be bop, soul, rhythm and blues, dodécaphonisme, bossa. Objectivement, le territoire cinématographique de Quincy Jones est bien plus vaste qu'on ne l'imagine a priori. A sa manière, cette luxuriante anthologie cherche à en dresser la carte. CD 1 : The pawnbroker ; Le prêteur sur gages ; The slender thread ; Trente minutes de sursis, CD 2 : Mirage, The deadly affair ; M.15 demande protection, CD 3 : In the heat of the night ; Dans la chaleur de la nuit ; Truman Capote's in cold blood ; De sang froid, CD 4 : Walk don't run ; Rien ne sert de courir ; The italian job ; L'or se barre, CD 5 : The lost man ; L'homme perdu ; John and Mary ; The getaway ; Guet-apens, CD 6 : Q's highlights ; Morceaux choisis.
Pour la première fois, voici réunies les grandes partitions de cinéma de Quincy Jones, remasterisées en version intégrale. Il a fallu mener un long jeu de pistes pour retrouver et restaurer les bandes masters concernées, pour reconstituer le puzzle d'un fragment de vie entièrement voué à l'écriture pour l'image. "J'ai voulu écrire des musiques de films dès l'âge de quatorze ans " affirme Quincy. Ce rêve est devenu réalité dix-huit ans plus tard, en 1965, avec The Pawnbroker de Sidney Lumet". Le cinéma de Quincy Jones, ce sont sept années d'une grande intensité, une parenthèse enchantée (1965-1972) prolongée par The Wiz, film de sa rencontre avec Michael Jackson, et surtout La Couleur pourpre de Steven Spielberg. L'étape cinéma va être décisive dans la reconnaissance de son talent : jusqu'alors auréolé d'une réputation d'arrangeur virtuose, c'est Hollywood qui va installer et confirmer Quincy Jones en tant que compositeur. Pour Quincy Jones, écrire pour le cinéma, c'est aussi faire la synthèse de ses différentes cultures : be bop, soul, rhythm and blues, dodécaphonisme, bossa. Objectivement, le territoire cinématographique de Quincy Jones est bien plus vaste qu'on ne l'imagine a priori. A sa manière, cette luxuriante anthologie cherche à en dresser la carte. CD 1 : The pawnbroker ; Le prêteur sur gages ; The slender thread ; Trente minutes de sursis, CD 2 : Mirage, The deadly affair ; M.15 demande protection, CD 3 : In the heat of the night ; Dans la chaleur de la nuit ; Truman Capote's in cold blood ; De sang froid, CD 4 : Walk don't run ; Rien ne sert de courir ; The italian job ; L'or se barre, CD 5 : The lost man ; L'homme perdu ; John and Mary ; The getaway ; Guet-apens, CD 6 : Q's highlights ; Morceaux choisis.