« On ne pourra certainement pas reprocher à Biréli Lagrène d’être tombé dans le piège qu’on lui tendait à ses débuts, à savoir, se cantonner dans le rôle de « fils spirituel » surdoué de Django. [?] Accompagné de deux géants, Lagrène s’amuse dans tous les sens du terme à interpréter un mélange de thèmes personnels, de standards et même de chanson pop avec une musicalité et une maturité qui forcent le respect. [?] Assurément, un disque magistral. » Jazz magazine