Lang a su, par la simplicité mêlée de raffinement de son approche du piano et de l'écriture, mettre le magnifique soliste que peut-être Konitz en état de grâce, et le pianiste a, osons la métaphore religieuse, superbement servi de bedeau à ce prêcheur inspiré. En deux mots comme en cent : c'est un émoi. La messe est dite ! (Thierry Quénum/Jazz Magazine nع588)